Ces 14 dernières années, FloraQuebeca a poursuivi la mission qu’elle s’est donnée à sa fondation en mars 1996, c’est-à-dire: sensibiliser et éduquer le public sur la flore indigène, en plus de promouvoir auprès des décideurs et des entreprises le soucis de conservation des plantes indigènes et de leur habitat, tout en contribuant à l’acquisition de connaissances sur la flore indigène. Sensibiliser et éduquer le public C’est probablement dans l’éducation et la sensibilisation du public que nous avons jusqu’à maintenant investi le plus d’énergie et de temps. Les activités à ce chapitre ont principalement consisté à publier des articles de vulgarisation dans notre Bulletin et à entrer en contact direct avec la population. Ainsi, nous publions deux ou trois numéros par année, de notre Bulletin, dans lequel entre autres, sont parus des articles traitant d’horticulture respectueuse de la flore indigène, d’histoires de botanistes ayant étudié la flore québécoise, de découvertes récentes dans divers domaines touchant la protection de la biodiversité. Bien que destiné d’abord à nos membres, notre Bulletin est accessible aux lecteurs de différentes bibliothèques et aussi lu par un vaste public s’intéressant à la flore. Nous publions aussi régulièrement des articles dans la revue Quatre-Temps, des Amis du Jardin…
Les membres fondateurs de FloraQuebeca sont Gisèle Lamoureux, Isabelle Dupras ainsi que Thérèse Romer. Ces femmes avaient à l’époque des inquiétudes quant aux récoltes des plantes sauvages au Québec. Elles ont voulu sensibiliser les gens à propos du commerce des plantes qui se faisait en horticulture. En moins d’un an, elles ont été chercher des centaines de membres qui, eux aussi, été préoccupés par la cause. Nous remercions ces femmes d’avoir créé notre organisme. FloraQuebeca rayonne depuis 1996 grâce à ce trio formidable. Voici le premier communiqué de FloraQuebeca distribué le 23 mars 1996. Vous trouverez également ci-dessous une affiche de l’Opération Trille ainsi que le premier dépliant écrit par les membres de FloraQuebeca.
Le Bulletin de liaison est publié 2 à 3 fois par année. On y trouve des informations pertinentes relatives à la connaissance et à la conservation de la flore québécoise et des espèces menacées ou vulnérables, aux botanistes ayant oeuvré au Québec, aux actions de conservation ou de restauration de milieux naturels. Directives pour la soumission d’un article Nous vous invitons à participer et bonifier le bulletin par vos articles. Afin de simplifier la tâche des réviseurs et des responsables de l’édition et de la mise en pages dubulletin de FloraQuebeca, nous recommandons de bien lire les « Consignes aux auteurs ». Consignes aux auteurs Transmettre les manuscrits par courrier électronique : documents annexés — de préférence en format Word. Seuls des textes très courts seront reçus par télécopie. À titre indicatif, colonne étroite : 1600 caractères (250 mots), colonne large : 2300 caractères (350 mots). Titre des articles : court et concis. Nous ne soumettons des épreuves qu’en cas de corrections substantielles de notre part. Formatage-Typographie Nous devons défaire tout formatage (gras, souligné, retrait, titres en majuscules, etc.). Nous suivons le plus souvent Le français au bureau de l’Office de la langue française. S’en tenir au minimum : Police…
La section « Bryophytes du Québec » est géré par le Comité de bryologie, volet de l’association FloraQuebeca, voué à l’étude de la bryologie québécoise. Nouvelle publication Les bryophytes rares du Québec. Espèces prioritaires pour la conservation. Par Jean Faubert, Bernard tardif et Martine Lapointe. 2010
Voici une série de clefs qui vous aideront à identifier certains groupes de plantes présentes au Québec. Elles sont faciles d’utilisation car elles reposent sur l’observation rapide de quelques caractères dont la plupart à l’œil nu. Nous vous recommandons toutefois de vous munir d’une petite loupe avec un grossissement minimal de 10x. Certaines espèces ne sont pas indigènes au Québec mais leur présence est assez significative, particulièrement dans les zones urbaines et péri-urbaines, pour les insérer dans les clefs. Droits d’utilisation: Les clefs ont été réalisées par les membres du groupe FloraQuebeca. L’usage des clefs est destiné aux fins personnels et ne peut faire l’objet de vente ou de sollicitation. FloraQuebeca autorise la reproduction des clefs mais exige également que leurs sources soient clairement citées. FloraQuebeca se réserve également le droit de modifier les clefs en partie ou totalement. Il prévient aussi ses utilisateurs que ces clefs ne peuvent servir de base scientifique pour garantir l’identification d’un spécimen et qu’elles sont conçues essentiellement pour les amateurs. Les fougères Les aubépines (Crataegus) Les conifères Les saules (Salix) Les souchets (Cyperus) Les lycopodes (Lycopodium) Les gadelliers et groseillers (Ribes) Les violettes (Viola) Les crucifères Les amélanchiers Plantes ligneuses rencontrées en hiver Les…
Avant-propos : En guise de premier jet du projet, l’équipe du glossaire vous propose ici une version numérique du glossaire contenu dans la Flore laurentienne du frère Marie-Victorin. Tout comme ses descriptions floristiques, ce glossaire fait partie de notre patrimoine et il peut nous être encore très utile en botanique et en floristique. Le projet complet comporte aussi la création d’une base de données terminologique, elle est en cours de préparation. Nous vous tiendrons informés de sa progression. Référence : MARIE-VICTORIN, Fr, ROULEAU, E., et BROUILLET, L.. (2002). « La flore laurentienne », 3eédition, Éditions Gaëtan Morin. Montréal: 1112 pages.Mise en ligne : 5 décembre 2012 Adaptation : Daniel Cyr Contenu : A • B • C • D • E • F • G • H • I-J • L • M • N • O • P • R • S • T • U • V • X-Z A Acaule (adj.). Dépourvu de tige. Ex. : Dalibarda repens. Accrescent, ente (adj.). Se dit des organes floraux, autres que l’ovaire, qui continuent après la fécondation à s’accroître jusqu’à la maturité du fruit. Ex. : le calice du Gaultheria procumbens. Accrêté, ée (adj.). Muni de crêtes. Ex. :…
Nom masculin : Nom d'un genre d'algues brunes marines (Macrocystis) atteignant jusqu'à 200 mètres de longueur et présentes surtout dans les mers froides.
Notes de travail : Eléments de botanique Par Philippe Édouard Léon Van Tieghem